BNP Paribas soutient l’association Les Toiles Enchantées

BNP Paribas soutient l’association Les Toiles Enchantées pour permettre aux enfants et adolescents hospitalisés ou handicapés de voir gratuitement les films à l’affiche BNP Paribas, devient cette année le partenaire de l’association Les Toiles Enchantées. Créée en 1997, dirigée par Gisèle Tsobanian et présidée par Alain Chabat, l’association Les Toiles Enchantées est unique en son genre et soutenue par l’ensemble de la profession. Encouragée par le corps médical, elle a pour mission de favoriser l’accès à la culture et au divertissement, de briser un quotidien difficile et de lutter contre l’isolement et le découragement. En 2010, Les Toiles Enchantées ont ainsi permis à 17 000 enfants dans toute la France de devenir spectateurs de 36 films à l’affiche au travers de 323 séances de cinéma organisées dans 125 établissements. BNP Paribas, au travers de ses nombreuses actions en faveur du cinéma, a pour ambition de donner accès au plus grand nombre à toutes les formes de cinéma, et renforce à nouveau son action en faveur du 7ème Art en permettant à de nombreux enfants et adolescents hospitalisés ou handicapés de voir les films à l’affiche. Ce partenariat s’intègre à toutes les actions que le groupe BNP Paribas mène déjà en faveur du 7ème art. BNP Paribas, acteur majeur du financement de la production audiovisuelle L’engagement de BNP Paribas dans le septième art est conforté par la longue histoire du groupe avec le cinéma. Depuis plus de 20 ans, BNP Paribas assure aux producteurs, distributeurs et post-producteurs, le financement des tournages de la production et post-production via son Agence Audiovisuelle constituée d’experts exclusivement dédiés aux activités cinématographiques et audiovisuelles, Le groupe détient également une participation au sein de l’établissement de financement Cofiloisirs. Cet engagement a été récemment renforcé par le rapprochement avec Fortis, lui même très impliqué dans ce domaine. Ainsi, en 2010, BNP Paribas aura participé directement ou indirectement au financement d’une centaine de films d’origine française, soit la moitié de la production annuelle française.

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